Pour élargir ses connaissances générales, l’un des meilleurs moyens est de s’intéresser à la culture des autres pays, région. Ainsi, le style de vêtement, de coiffure, et l’organisation d’un pays sont autant de facteurs susceptibles de donner plus ample informations sur les valeurs d’une communauté, d’un pays étranger. Comme exemple, il y a le style dreadlocks qui a et continue de marquer l’histoire.
Qu’est-ce que les dreadlocks
Les dreadlocks encore appelé mèche de la peur ou encore dread, locks sont des mèches de cheveux emmêlées. Plus d’information sur ce sujet sont disponibles pour vous. Ce type de cheveux au cours de l’histoire a été porté par plusieurs peuples et communauté. Ainsi, les dreadlocks se retrouvent sur des rastas qui sont une communauté adepte du style qui porte le nom rasta qu’on retrouve un peu partout dans le monde.
Ces cheveux sont formés lorsqu’ils sont laissés poussés librement sans aucun recours au brosse, au peigne, au rasoirs et encore moins au ciseaux. Toutefois, elles peuvent être obtenue en se faisant crêpé avec la main ou à l’aide de crochet. En plus, il faut veiller à l’entretient des cheveux, car il risque de prendre la forme d’une masse inextricable.
Les dreadlocks à travers le Monde
Dans la quasi-totalité du monde, il y a des personnes adeptes de ce style de coiffure. Cette coiffure tire son origine dans l’Egypte antique où déjà à l’époque des hommes et femmes dignitaires du royaume en étaient adepte. Mais aussi des membres de la famille royale, ainsi que des députés de cette époque avaient opter pour ce style de coiffure.
La culture occidentale également a été marquée par l’adoption de cette coiffure. Le reggae qui s’est occidentalisé y a largement contribué. Ils pouvaient être aperçu des célébrités qui portaient fièrement cette coiffure.
En plus, les dreadlocks se retrouvaient chez plusieurs communauté africaine et sud-américaine. En Afrique, les communautés Masaïs, Akans et Bantous avaient intégrées les dreadlocks à leur culture. Au Mexique, des historiens, y ont fait référence par rapport au rituel aztèque pendant lequel les prêtres avaient des dreadlocks.